La société Carmat a fait savoir mardi que les premiers éléments d'analyse concernant la mort du deuxième bénéficiaire de son coeur artificiel montraient une dégradation de son fonctionnement liée à un défaut de pilotage des moteurs.
Le patient, âgé de 58 ans, avait été opéré le 22 décembre dernier. La prothèse n'est pas impliquée dans son décès, indique la société dans un communiqué.
La société Carmat a fait savoir mardi que les premiers éléments d'analyse concernant la mort du deuxième bénéficiaire de son coeur artificiel montraient une dégradation de son fonctionnement liée à un défaut de pilotage des moteurs.
Le groupe de biotechnologie assure que sa prothèse n’est pas impliquée dans le décès du patient. L’Agence nationale de sécurité du médicament attend le résultat des investigations avant d’autoriser de nouvelles implantations.