L’étendue maximale atteinte cette année est de 1,03 million de kilomètres carrés inférieure à la plus faible précédemment enregistrée, soit près de deux fois la superficie de la France.
Depuis le début de l’hiver austral, la banquise antarctique peine à se reformer : en juillet, elle a atteint sa plus petite surface depuis le début des observations satellites. Un phénomène inquiétant avec de graves conséquences à l’échelle de la planète.
La banquise antarctique n'est pas épargnée par le réchauffement climatique. Celui-ci est à l'œuvre et l'été austral a encore grignoté un peu plus son territoire. Malheureusement, l'hiver qui s'annonce dans l'hémisphère Sud, ne semble pas pouvoir permettre la reconstitution de la...