Pourtant menacés par la surpêche, les trois principaux poissons achetés par les Français ne répondent pas aux critères de pêchedurable. De plus, l’étiquetage obligatoire est fantaisiste ou manquant dans les deux tiers des cas.
Selon les travaux de l'Ifremer, près de la moitié des poissons pêchés et débarqués par les pécheurs français proviennent de stocks en bon état écologique. Un indicateur en progrès qui témoigne de l'utilité des quotas de pêche et des plans de gestion.
L’Assemblée nationale a voté à l’unanimité un ensemble de mesures dont l’interdiction pour les grandes surfaces de se débarrasser des invendus encore consommables.