Impossible d'affirmer que des gènes contrôlent le mal de dos. Mais certaines mutations semblent prédisposer à la dégradation des disques intervertébraux.
L'hérédité pèserait pour environ 50 %, beaucoup moins que des estimations précédentes de 80 à 90 %, selon un article publié dans le « Journal of the American Medical Association ».