Les dégâts aux bâtiments dus à la sécheresse en France devraient coûter entre 1,6 et 2,4 milliards d’euros en 2022

Le Monde, le
Les dégâts aux bâtiments dus à la sécheresse en France devraient coûter entre 1,6 et 2,4 milliards d’euros en 2022
Cette estimation ne comprend que les dommages constatés dans des communes pour lesquelles l’état de catastrophe naturelle sera reconnu, et qui seront ensuite bel et bien considérés comme consécutifs à la sécheresse.
Articles qui devraient vous intéresser :

Catastrophes naturelles : une facture estimée à 10 milliards d’euros en 2022

Le Point
Catastrophes naturelles : une facture estimée à 10 milliards d’euros en 2022
Les incendies, inondations ou encore tempetes devraient couter plus de 140 milliards d'euros aux assurances. Un record depuis 1999.

Les assureurs s’attendent à un doublement de la facture des catastrophes naturelles d’ici à 2040

Le Monde
Les assureurs s’attendent à un doublement de la facture des catastrophes naturelles d’ici à 2040
L’Association française de l’assurance (AFA) estime que les dégâts causés par les catastrophes naturelles devraient coûter aux assureurs 92 milliards d’euros entre 2015 et 2040, contre 48 milliards entre 1988 et 2013.

275 milliards de dollars… c'est le coût des catastrophes naturelles dans le monde en 2022 !

Futura Sciences
275 milliards de dollars… c'est le coût des catastrophes naturelles dans le monde en 2022 !
275 milliards de dollars, soit 255 milliards d'euros. C'est ce qu'ont coûté les catastrophes naturelles en 2022 à travers le monde. Parmi les 275 milliards de dollars, seuls 125 étaient couverts par des assurances. Pour la France seule, c'est 10 milliards d'euros. Et ce montant risque bien...

« Les sinistres liés à la sécheresse pourraient coûter 43 milliards d’euros en France sur la période 2020-2050 »

Le Monde
« Les sinistres liés à la sécheresse pourraient coûter 43 milliards d’euros en France sur la période 2020-2050 »
La progression de la sécheresse, particulièrement importante cet hiver, impose d’adapter les comportements et d’innover avec l’aide de l’Etat pour parer un risque imminent, estime, dans une tribune au « Monde », l’expert en gestion des risques Jérôme Bergé.