Selon les autorités sanitaires américaines, 6% des bébés nés de mères infectées par le virus Zika durant la grossesse souffrent d’anomalies à la naissance. Avant l’épidémie, la proportion n’était que de 0,3%.
L’ONU a demandé ce vendredi aux pays touchés par le virus Zika, soupçonné de provoquer des malformations congénitales, d’autoriser l’accès des femmes à la contraception et à l’avortement.
À la fin du mois de septembre, des cas groupés d’enfants nés avec des malformations ont été médiatisés. Un 8e cas vient d’être signalé au registre des malformations congénitales en Rhône-Alpes.