L’antispécisme place l’homme au sommet de la pyramide du vivant. Une erreur qui pourrait avoir de funestes conséquences, explique le biologiste Christophe Robaglia dans une tribune au « Monde ».
Un collectif de chercheurs et de militants estime dans une tribune au « Monde » que les critiques de l’antispécisme sont construites sur une faible connaissance du sujet, conduisant à l’enrayement des débats sur la question.
À Berlin, on prend l’affaire Volkswagen très au sérieux. L’objectif est désormais d’aller de l’avant en soutenant les voitures électriques au travers de nouvelles mesures de soutien.