Editorial. L’année 2017 a été classée comme l’une des trois plus chaudes de l’histoire moderne. Les Etats doivent agir vite et interroger les modes de production et de consommation qui font des hommes les prédateurs de la nature.
Le succès de l’expression « prise de conscience » repose sur une fausse évidence : la crise environnementale serait due à un manque qu’il faudrait combler et non à un ordre économique à réformer, explique l’historien Jean-Baptiste Fressoz dans sa chronique au « Monde ».
Ce n'est pas parce que la prise de conscience de l'effondrement de la biodiversité progresse dans l'opinion que des résultats positifs se font pour autant ressortir. C'est ce qui ressort du bilan 2020 de l'Observatoire national de la biodiversité ...
De nos jours, alors que la COP28 s'ouvre à Dubaï aux Émirats arabes unis, la plupart des habitants de notre Planète ont entendu parler de changement climatique, même si certains restent sceptiques. Une véritable prise de conscience mondiale a émergé, malgré le fait que les actions et...
La loi sur la biodiversité attendue pour le printemps 2015 va créer de nouveaux outils de protection. Une prise de conscience se fait jour sur la nécessité de dépasser les mesures de protection limitées à certaines espèces ou zones géographiques p...