Alors que les premiers jours du mois de juin ont été marqués par une hausse temporaire des températures de +1,5 °C comparée aux niveauxpréindustriels, l'ONU a tenu des propos très forts sur le manque d'action des gouvernements.
C'est désormais officiel, le réchauffement planétaire a atteint pendant 12 mois le seuil que personne ne voulait franchir en raison de conséquences potentiellement irréversibles : +1,5 °C, la limite à ne pas dépasser définie par l'Accord de Paris en 2015.
C'est désormais officiel, le réchauffement planétaire a atteint pendant 12 mois le seuil que personne ne voulait franchir en raison de conséquences potentiellement irréversibles : +1,5 °C, la limite à ne pas dépasser définie par l'Accord de Paris en 2015.
Nous ne devrions pas seulement nous soucier d’atteindre des points de basculement. Nous devrions aussi nous inquiéter de la vitesse à laquelle nous nous en approchons. C’est la recommandation que nous font aujourd’hui des chercheurs.
Plus nous approchons le seuil des 1,5 °C de réchauffement climatique anthropique, plus le risque grandit de franchir des points de basculement. Et les conséquences, à la fois pour le système Terre, pour la biodiversité et pour nos sociétés, seraient terrifiantes.