Le tribunal de grande instance de Bobigny déterminera, vendredi 10 mars, les suites de l’action judiciaireintentée par trois utilisatrices du dispositif médical controversé.
Utilisée par quelque 160.000 femmes en France, ces implants permettent une contraception définitive. Mais plusieurs patientes se plaignent d’effets secondaires, dont certains sont dramatiques.
Utilisés par quelque 160.000 femmes en France, ces implants permettent une contraception définitive. Mais plusieurs patientes se plaignent d’effets secondaires, dont certains sont dramatiques.
Alors que ces implants de stérilisation ont été mis en cause pour des supposés effets indésirables, le groupe pharmaceutique allemand a indiqué lundi avoir pris cette décision pour «une raison commerciale». Il maintient toutefois leur distribution aux États-Unis.
Cette méthode contraceptive définitive et irréversible est soupçonnée de causer de sévères effets indésirables. Elle a été placée sous surveillance renforcée en France en 2015.