Un mouvement parti des universités américaines propose aux grands actionnaires des entreprises de se défaire de leurs participations dans les énergies fossiles, charbon, pétrole et gaz.
A rebours d’une vague de désinvestissement mondial des fossiles, l’industrie minière australienne s’offre une campagne publicitaire pour vanter les mérites de cette énergie très polluante.
La baisse des cours du pétrole et du charbon, ainsi que les politiques énergétiques de nombreux États, favorisent le désinvestissement des énergies fossiles, tandis que les énergies renouvelables battent de nouveaux records.
L’Université Laval s’engage à retirer ses investissements du secteur des énergies fossiles, une première pour une université québécoise. Ce mouvement de désinvestissement prend toutefois de plus en plus d’ampleur à l’échelle de la planète.
De plus en plus de villes, d’universités, de compagnies ou de fondations privées renoncent à investir dans le gaz, le pétrole ou le charbon. Ce mouvement représente 3 200 milliards d’euros d’actifs.