« Non, vous n’êtes pas des criminels, mes enfants, parce que sur vos joues vous souhaitez sentir le vent, vous ne tuez pas les vieilles gens parce que vous embrassez vos grands-parents, écrit Didier Pourquery de Boisserin à sa fille pour ses 18 ans. [...] Ce monde est votre logis, personne n’a le droit de le transformer en résidence surveillée. »