L’association Respire dévoile ce mercredi matin les résultats d’une série de mesures faites avec le CNRS sur la présence de particules polluantes dans le métro. Elle s’inquiète pour la santé des voyageurs et salariés.
Selon les données collectées par des volontaires pour le compte de l’émission de France Télévisions, « Vert de rage », le niveau de pollution aux particules fines est cinq fois supérieur aux standards recommandés par l’OMS.
Les hydrocarbures aromatiques polycycliques sont cancérogènes et se trouvent à la surface des particules ultrafines émises en grand nombre par les véhicules diesel. Contrairement aux NOx, ils ne sont pas surveillés
Selon une étude d’Airparif, le trafic routier est la principale source d’émission – avec le chauffage au bois en hiver – de ces particules non réglementées malgré leur dangerosité.