Sous pression, le groupe pétrolier français a décidé de quitter le gisement de Termokarstovoïe, en Sibérie. Il maintient toutefois sa présence en Russie.
Le groupe français assure que l’accord de cession a été conclu le 18 juillet mais qu’il n’a été validé qu’hier par les autorités russes. « Le Monde » a dévoilé, en début de semaine, que ce gisement russe avait fourni du condensat de gaz transformé en kérosène qui a pu...
La société française a « décidé du retrait de [ses] représentants » auprès de la compagnie russe, mais en détient toujours des actions, incessibles à cause des sanctions internationales visant la Russie.
Le groupe français ne comptabilisera plus sa part de 19,4 % dans le leader russe du gaz naturel liquéfié au prix de 3,5 milliards d’euros de dépréciations. Il continue toutefois à en livrer à l’Europe, qui n’a pas décrété de sanctions.