Une mission d’information parlementaire alerte sur l’exposition « très préoccupante » de la population aux perturbateurs endocriniens présents dans des contenants utilisés quotidiennement.
La médecin Lamia Kerdjana plaide, dans une tribune au « Monde », pour que les hôpitaux français prennent au sérieux la question de la malbouffe et que l’option végétarienne soit mise au centre des débats.
La prise en compte des risques liés aux perturbateurs endocriniens en milieu professionnel constitue un enjeu majeur. L'INRS préconise de les remplacer par des produits moins nocifs et, à défaut, de limiter les expositions.