La personnalisation de l’environnement vise certes à renforcer sa protection, mais imputer des devoirs et des responsabilités aux éléments de la nature, comme l’a fait le Parlement de Nouvelle-Zélande pour le fleuve Whanganui ou encore la Haute Cour de l’Etat himalayen de l’Uttarakhand pour le Gange et son affluent, est un abus de langage.