Le texte, qui a pour ambition d’inscrire la défense du climat dans la Constitution, doit auparavant être voté en par l’Assemblée nationale et le Sénat, ce qui est loin d’être gagné.
Lors de sa première rencontre vendredi soir avec les 150 Français participant à la Convention citoyenne sur le climat (CCC), le président de la République s'est dit ouvert tant à un référendum législatif qu'à un référendum consultatif sur quelques mesures issues de leurs travaux.
L’échec annoncé du référendum visant à réviser la Constitution pour encadrer la sauvegarde du climat et de la biodiversité devrait entretenir la brouille entre Emmanuel Macron et les militants de l’environnement.
L’eurodéputé écologiste relève qu’il faudra l’accord du Sénat (à majorité LR) pour organiser un référendum sur le climat et juge que le chef de l’Etat a raté sa rencontre avec les membres de la Convention citoyenne.