Si certains élus dénoncent un deux poids deux mesures avec la métropole, la plupart des Martiniquais accueillent sans colère la prolongation de l’état d’urgence jusqu’au 31 mars et le couvre-feu à 20 heures, le soir de la Saint-Sylvestre, pour faire face à l’épidémie de Covid-19 qui sévit sur l’île, déjà lourdement endeuillée.