Editorial. La demande de fermeture de la centrale de Fessenheim par l’Allemagne soulève la question de la sûreté d’une filière dont la France reste la championne, quand nos voisins ont choisi d’y renoncer.
Le président de l’Autorité de sûreté nucléaire, qui a présenté jeudi son rapport annuel, appelle le gouvernement à davantage anticiper la fin de vie des réacteurs.
Le nouveau président de l’Autorité de sûreté nucléaire, Bernard Doroszczuk, s’inquiète du vieillissement du parc français et de la perte de compétences techniques de la filière.
Près d’un tiers du parc atomique français est indisponible. Le Syndicat des énergies renouvelables prône le développement de la filière bois pour affronter l’hiver.