Pour Rosa Crestani, coordinatrice de l'intervention Ebola pour Médecins sans frontières, interrogée dans un chat sur Le Monde.fr, la surveillance et l'isolement des malades est essentiel.
Reportage en Guinée forestière et à Conakry où la population, par crainte du virus, fuit les hôpitaux, ce qui entraîne un retour de la rougeole, de la méningite ou du paludisme.
Risque d’attentat et virus Ébola: cela peut déboucher sur des décisions surprenantes. Comme annuler un voyage scolaire à Bruxelles ou refuser d’envoyer ses enfants à l’école. Une peur collective qui peut s’expliquer.
Pas de paranoïa Ebola. Nos hôpitaux géreront les cas suspects qui pourraient se présenter. À l’Institut des maladies tropicales, on se montre rassurant.