Une nouvelle étude du CNRS effectuée sur des fleurs près de Paris montre une évolution d'adaptation surprenante : pour faire face au manque d'insectes, les plantes sauvages commencent à s'auto-polliniser.
En réponse probable à la forte baisse du nombre d’insectes pollinisateurs, une petite fleur sauvage s’est adaptée en produisant moins de nectar, attirant moins ces insectes. Ce qui pourrait aggraver leur chute.
Si vous n’avez ni jardin ni balcon pour planter des fleurs et attirer les insectes, de nombreuses associations proposent de participer à des opérations de protection de la biodiversité sur le terrain.