L’épidémie due au coronavirus SARS-CoV-2 fait planer le risque d’une abstention en hausse aux scrutins des 15 et 22 mars. Selon un sondage, les électeurs les plus inquiets ne sont pas les plus vulnérables.
Le 15 mars, la crise liée à l’épidémie due au coronavirus a écrasé les enjeux pourtant multiples des élections municipales, maintenues in extremis malgré l’inquiétude croissante de la population. Récit heure par heure dans quinze villes de France.
La participation au premier tour des municipales était en forte baisse, dimanche en fin de journée, au lendemain des annonces du premier ministre, Edouard Philippe,
Avant la prise de parole d’Emmanuel Macron à 20 heures, le scénario d’une annulation du scrutin des 15 et 22 mars à cause du coronavirus a pris de la vigueur.