Une étude a évalué le nombre d’hospitalisations pour maladies cardiovasculaires dans les 15 jours ayant suivi les attentats de janvier et novembre 2015 et celui de juillet 2016 à Nice.
Un pic d'hospitalisations pour troubles cardiaques a été constaté par une étude.
Les individus isolés et qui ne sont pas accompagnés rapidement ont plus de risques de développer des troubles psychologiques.
Beaucoup de personnes présentes auprès des victimes des attentats du 13 novembre se sont sentis démunies.