Des coquelicots à la boutonnière d’une amicale de boulistes, des dessins à la porte des écoles pour la kermesse de fin d’année et des cortèges avec des fleurs géantes tous les mois sur les places de France....
Rassemblé samedi à Paris pour une journée d’échanges, le mouvement anti-pesticides lancé en septembre 2018 revendique près de 700 collectifs et 12 000 rassemblements à travers la France.
Fabrice Nicolino, à l’origine du mouvement anti-pesticides des coquelicots, réclame un moratoire immédiat sur les SDHI, des fongicides très utilisés en agriculture.
Le plasticien Jérôme Toq’R a planté plus de 20 000 coquelicots issus de bouteilles en plastique dans le jardin du centre d’art contemporain de la Matmut, à Saint-Pierre-de-Varengeville.