Le royaume scandinave pratique une sylviculture basée sur la monoculture et les coupes rases. Mais les critiquesmontent devant les dégâts pour le climat et la biodiversité.
Les rapports alertant sur les menaces qui pesent sur la faune et la flore dans les forêts suédoises se multiplient. Ils mettent en cause la sylviculture intensive.
Julien Denormandie signe une lettre, avec dix autres ministres européens, appelant la Commission à reporter la publication d’un texte qui doit notamment permettre de mieux protéger la biodiversité.
Pour les antispécistes, rien ne saurait justifier l’exploitation de l’animal par l’homme. Leur remise en question radicale de notre alimentation, de l’écologie et de l’humanisme interroge autant qu’elle dérange.
Oui ! On peut sauver nos forêts tempérées ! Mais en évitant certaines erreurs qui pourraient être délétères. D’où les nombreuses voix qui s’élèvent ces temps-ci pour que la politique de reboisement en cours d’arbitrage par le gouvernement ne fasse pas plus de mal que de bien aux...