Une Française attribuant son invalidité aux champs électromagnétiques s'est vue accorder une allocation de handicap. Pour autant, il ne s'agit pas encore d'une reconnaissance de l'électrosensibilité comme pathologie.
La médecine rechigne à imputer ces symptômes aux radiofréquences générées par les technologies sans fil, téléphones mobiles, réseaux Wi-Fi et autres antennes-relais.
Le cancérologue âgé de 74 ans, récemment spécialisé dans la «médecine environnementale», pose des diagnostics d’électro-hypersensibilité qui ne reposent sur aucune donnée scientifique validée.