C’est la deuxième fois en plus d’un siècle qu’un manteau blanc recouvre la capitale irakienne. Des images magiques et incongrues dans un pays plutôt habitué à souffrir de la chaleur extrême.
Depuis la mi-avril, l'Irak a été balayé par 9 tempêtes de sable de grande envergure, un phénomène particulièrement nocif pour la santé qui a été aggravé par la désertification.
Dans la capitale de l’Irak, les mesures de restriction contre la pandémie de Covid-19 ont considérablement amélioré la qualité de l’air, pour le bonheur des personnes souffrant de difficultés respiratoires.