Pour promouvoir le don d'organes, le système de santé britannique lance une campagne atypique en faisant appel à Tinder, une application de rencontres très populaire.
Il existe des histoires de personnes «revenues de la mort». Et certaines personnes s’indignent, refusent d’être donneuses d’organes, de peur que le don d’organes les tue alors qu’elles n’étaient pas réellement mortes.
Si l'on sait «congeler» des cellules, des gamètes ou du sang, l'objectif est désormais de préserver par le froid des tissus complexes, voire des organes en vue d'une greffe.
Notre petit pays dont la législation favorise le don d’organes n’est-il pas lésé face à une nation comme l’Allemagne où la loi exige le consentement explicite du donneur?