Deux ans et demi après la diffusion d’images-chocs filmées par l’association L214, des employés et le directeur de l’abattoir de Mauléon se retrouvent devant la justice.
Selon l’inspection nationale lancée à la suite de la révélation de cas de maltraitance animale dans des abattoirs, les deux tiers des établissements ne posent aucun problème.
Le rapport de la commission d’enquête parlementaire, auquel « Le Monde » a eu accès, recommande, parmi 65 mesures, l’expérimentation d’abattoirs mobiles.
Les députés se sont finalement opposés en commission à l'installation de caméras dans les abattoirs. Le rapporteur dénonce une "position conservatrice".