L’Imperial College de Londres a publié mercredi une étude montrant que les personnes vaccinées à deux doses présentent un risque d’infection réduit d’environ 50 % à 60 % par rapport aux personnes non vaccinées.
Une équipe britannique a délibérément infecté trente-six jeunes adultes en bonne santé dans l’espoir d’accélérer, à l’avenir, la mise au point de nouveaux vaccins ou traitements. La méthode suscite un âpre débat éthique et scientifique.
Les vaccins AstraZeneca et Janssen sont associés à un risque de développer la maladie, mais pas ceux développés par Pfizer, largement utilisés en France, selon une étude.
Selon une étude intégrant 1,5 million de patients infectés par le Covid-19, le risque de décès est divisé par 3,2, tous âges confondus, par rapport à Delta.
Une vaste étude, publiée mardi par Epi-Phare, vient confirmer la sûreté des vaccins de Moderna et Pfizer, tout en soulignant un surrisque lié aux vaccins à adénovirus.