La municipalité a demandé à l’Organisation mondiale de la santé de rebaptiser la maladie afin de favoriser la prise en charge des patients. Près de 1 100 contaminations ont été détectées dans la ville.
Pour Matthew Kavanagh, directeur adjoint de l’Onusida, la stigmatisation d’un certain public est susceptible d’enrayer la lutte contre l’épidémie actuelle.
Si l’on dispose de peu d’éléments sur les causes de décès au Pérou, au Brésil, en Inde et en Espagne liés à la variole du singe, le taux de létalité est estimé à 0,05 % depuis le début de l’année.
A l’instar de plus de 1 700 personnes en France, Jérémie, Mikaël, Paul et Ynes ont contracté récemment le virus de la variole du singe. Ils déplorent un manque de suivi médical et la difficulté à supporter un isolement très strict.