La concentration de l'air en pollens de graminées varie au fil de la journée et des mois. Les plus sensibles peuvent en tenir compte dans leur emploi du temps.
Presque toute la France a atteint le seuil maximal de risque d’allergie aux pollens le 16 février. S’il y a de plus en plus de pollens et de plus en plus tôt, il y a aussi de plus en plus de personnes allergiques. Et tout cela a un lien avec le dérèglement climatique.
La moitié nord est touchée par un risque très élevé d’allergie aux pollens de bouleaux, tandis que les pollens de platanes gagnent du terrain au sud, alerte le RNSA.
Les conditions météo déterminent en grande partie la libération des pollens allergisants dans l'air. Mais avec le réchauffement climatique, le risque est désormais bien plus fort, non seulement en raison de la présence persistante des anticyclones, mais aussi de la pollution.