Trois médecins du Centre hospitalier universitaire de Namur appellent à un « débat éthique » sur la prise en charge prioritaire dont bénéficient les patients contaminés ayant fait le choix de ne pas se faire vacciner.
Des mois après avoir été atteints du Covid-19, de nombreux malades souffrent toujours de symptômes liés à la maladie. Pascale Santi, journaliste santé, a rencontré des patients démunis et des médecins à la recherche de réponses sur ce « Covid long » encore bien mystérieux.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, le molnupiravir, la pilule anti-Covid du laboratoire américain, doit être réservé aux patients atteints d’une forme encore légère de la maladie mais présentant un risque élevé d’hospitalisation, notamment les personnes âgées.