Editorial. Par sa nomination au gouvernement, Nicolas Hulot apportait la garantie que la défense de la cause écologique ne resterait plus un vain mot. Son départ quinze mois plus tard démontre que c’était un vœu pieux.
Si beaucoup se concentrent sur les conséquences politiques de la démission de Nicolas Hulot, le 28 août, une partie de la presse étrangère retient avant tout le message de l’ancien ministre de la Transition écologique : la planète est à bout de souffle.
Si beaucoup se concentrent sur les conséquences politiques de la démission de Nicolas Hulot, le 28 août, une partie de la presse étrangère retient avant tout le message de l’ancien ministre de la Transition écologique : la planète est à bout de souffle.
Emmanuel Macron a déclaré mardi 28 août respecter la « liberté » de Nicolas Hulot, qui a annoncé sa démission de son poste de ministre de la transition écologique.