Le virus, que l’OMS recommande d’appeler « mpox », ne cesse de régresser en France et au niveau mondial. Les membres du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires publient un ensemble de recommandations pour empêcher son retour.
Si l’on dispose de peu d’éléments sur les causes de décès au Pérou, au Brésil, en Inde et en Espagne liés à la variole du singe, le taux de létalité est estimé à 0,05 % depuis le début de l’année.
Le virus de la variole du singe circule rapidement chez les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes et suscite l’inquiétude. Doit-on craindre une propagation importante de la maladie et une crise sanitaire à venir ? Dans ce podcast, Delphine Roucaute, journaliste au service...