Les médecins généralistes se heurtent à un refus grandissant chez leurs patients au point que certains renoncent à vacciner. Ils réclament un accès aux vaccins à ARN messager.
Le dernier des vaccins autorisés en France, perçu comme une alternative au « mal-aimé » AstraZeneca, a l’avantage d’être unidose. Mais son déploiement démarre doucement.
Un groupe d’experts réuni par l’Agence du médicament (ANSM) a émis, mercredi, des « réserves » quant à l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca chez les tranches d’âge plus jeunes.
L’agence britannique des médicaments a déclaré vendredi avoir constaté 242 cas de caillots sanguins chez des personnes ayant reçu le vaccin d’Oxford-AstraZeneca contre le Covid-19, sur plus de 28 millions de doses administrées.