Il existe des histoires de personnes «revenues de la mort». Et certaines personnes s’indignent, refusent d’être donneuses d’organes, de peur que le don d’organes les tue alors qu’elles n’étaient pas réellement mortes.
La mort de Sudan est synonyme de l’extinction de la sous-espèce. A moins que les scientifiques qui ont prélevé son matériel génétique parviennent à développer des techniques de fécondation in vitro.
Depuis le 1er janvier 2017, il est devenu plus simple d'exprimer son opposition aux prélèvement d'organes, notamment en s'inscrivant en ligne sur un site lancé ce lundi. Marie-Laure Lebègue, mère d'un receveur et femme d'un donneur, milite, elle, pour le don. Elle raconte.
RÉCIT - Cet exploit médical, le premier en son genre, ouvre des perspectives importantes en prouvant qu’il est possible d’allonger la durée de survie d’un greffon prélevé.