La major pétrolière anglo-néerlandaise envisagerait de quitter le Royaume-Uni pour un siège et une cotation à New York. Un moyen d’atténuer la pression climatique. Mais elle ne serait pas forcément plus à l’abri outre-Atlantique, même si le lobby pétrolier y est plus puissant, note Jean-Michel Bezat, journaliste économique au « Monde ».