En étudiant le déplacement des îles Tonga à la suite d’un séisme survenu à une profondeur de 560 kilomètres, des scientifiques ont réussi à mettre en lumière l’existence d’un niveau de très faible viscosité à la base du manteau supérieur.
À quel point les processus tectoniques régissant la surface de la Terre impactent-ils la dynamique du manteau profond ? Une nouvelle étude illustre l’importance des zones de subduction lors des grands cycles tectoniques.
L’origine des anomalies de vitesse qui se trouvent à l’interface entre le noyau externe et le manteau terrestre pourrait bien être élucidée. Il pourrait s’agir des restes d’anciennes croûtes océaniques déposées au fond du manteau au cours des temps géologiques.
L’intérieur de la Terre se dévoile un peu plus chaque jour. Grâce à des signaux sismiques de haute fréquence, des chercheurs ont réussi à imager la base du manteau de manière bien plus précise qu’auparavant. Ils précisent notamment la composition et l’architecture de certaines zones...