Berlin ne veut plus soutenir l’interdiction de la vente de véhicules à moteur thermique en 2035 dans l’Union européenne, suspendant le vote du texte prévu mardi 7 mars. Une attitude qui réveille, chez les industriels, le vieux débat jamais clos entre la transition et la rupture, relève Philippe Escande, journaliste économique au « Monde ».