La fin du printemps et l’arrivée de l’été sont synonymes de phénomènes climatiques extrêmes sur la planète. Mais cette année, l’ONU s’alarme de l’impact sanitaire de ces événementsmétéo en pleine période de Covid-19.
Si 2023 reste pour l’instant « dans la norme », en matière de surfaces brûlées, la saison des feux, qui a débuté avec la saison sèche en septembre, est exceptionnelle en intensité.
Canicules, sécheresses, incendies… Le dérèglement s’accélère, et si la réduction des émissions de CO2 demeure une priorité, il faut désormais songer aussi à s’acclimater. Un chantier titanesque, qui n’en est qu’à ses débuts.
Canicules à rallonge, incendies ravageurs, sécheresses historiques… Les phénomènes extrêmes qui ont eu lieu depuis le mois de juin dans la plupart des régions devraient être la norme dans les années à venir.
Canicules, incendies, sécheresses, inondations… ont fait rage sur la planète, provoquant de graves conséquences. Pour les scientifiques, cette multiplication confirme que les impacts du réchauffement se font davantage sentir à chaque dixième de degré supplémentaire.