En autorisant la titrisation des « prêts non performants », l’Europe prend le risque de voir une crise financière redoubler les effets de la crise économique due au Covid-19, prévient l’économiste dans sa chronique au « Monde ».
Les banques ne doivent plus ignorer le risque climatique, qui pourrait affecter leurs bilans de multiples manières, détaille l’économiste dans sa chronique au « Monde ».
En publiant, le 24 janvier, des indicateurs climatiques, et en affirmant sa responsabilité dans la transition, la Banque centrale européenne a franchi un pas important, analyse l’économiste dans sa chronique.
Banques, assurances et fonds d’investissement s’inquiètent du « risque de transition », c’est-à-dire de la perte de valeur des actifs liés à l’économie carbonée, observe l’économiste dans sa chronique
L’économiste Jézabel Couppey-Soubeyran juge, dans une tribune au « Monde », les changements annoncés par la BCE bien timorés, tant pour les instruments de sa politique monétaire que pour lutter contre le réchauffement climatique.