Pour se protéger des nuages toxiques qui recouvrent Pékin et les principales grandes villes de Chine, plusieurs écoles internationales ont décidé d'installer des dômes gonflables pour protéger leurs étudiants.
« Airpocalypse », c'est ainsi que les Chinois surnomment les situations d'extrême pollution qui plongent les grandes villes du pays dans un épais brouillard toxique. Mais comment la Chine en est-elle arrivée là ?
La journaliste Chloé Nabédian tente d'expliquer sur le plateau du journal de 20 heures de France 2 le lien entre la goutte froide présente en Europe et les dômes de chaleur.
La métropole de Harbin, où résident plus de 10 millions d'habitants, fait face depuis trois jours consécutifs à un épais nuage de pollution atmosphérique qui dépasse 30 fois le plafond préconisé par l'OMS.
L'Airpocalypse se poursuit en Chine : depuis une semaine, le nord du pays suffoque de nouveau sous une épaisse pollution atmosphérique. Mais que contient ce « smog » ?