La chute de la concentration des spermatozoïdes chez l’humain est désormais observée dans le monde entier, indique une méta-analyse publiée mardi 15 novembre.
Selon le Pr Jean-Marc Ayoubi, chef de service de gynécologie obstétrique et médecine de la reproduction de l'hôpital Foch de Suresnes, le déclin de la fertilité masculine et féminine est devenu un enjeu de santé publique majeur.
Moins connu, l’impact de la nutrition sur la fertilité masculine autour du moment de la conception d’un enfant semble pourtant bien réel.
Une étude hiérarchise pour la première fois les polluants du quotidien les plus nuisibles à la qualité du sperme humain.
Utilisé à haute dose et en continu, cet anti-inflammatoire non stéroïdien perturbe la production de testostérone chez l’homme.