Les autorités sanitaires ont reconnu des "délais" pour la vaccination contre le Monkeypox que le gouvernement a décidé de proposer préventivement aux groupes les plus exposés, notamment les personnes homosexuelles.
A l’instar de plus de 1 700 personnes en France, Jérémie, Mikaël, Paul et Ynes ont contracté récemment le virus de la variole du singe. Ils déplorent un manque de suivi médical et la difficulté à supporter un isolement très strict.
Face au nombre de personnes ciblées, la quantité de doses disponibles ou l'état du personnel soignant, la France n'est pas en avance dans sa politique de vaccination.
A Lille, depuis le 10 août, une pharmacie teste, comme quatre autres en France, la faisabilité d’une vaccination contre le virus Monkeypox dans ces officines.