La question du réchauffement climatique, au programme de la réunion des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE, a été seulement évoquée. Aucun accord n’a été trouvé.
Seules soixante-six nations, essentiellement des pays en développement pesant pour 6,8 % des émissions, se sont engagées, lundi à New York, à accroître leurs efforts d’ici à 2020.
En vertu de l'Accord de Paris de 2015, chacun des quelque 200 signataires devait déposer une version révisée de ses engagements en matière de lutte contre les dérèglements climatiques.
Cette contribution nationale de Pékin reprend les principaux engagements du président chinois, Xi Jinping : atteindre son pic d’émissions avant 2030 et la neutralité carbone avant 2060.
Le projet de loi climat mise sur des engagements volontaires pour réguler la publicité. Des engagements invérifiables à défaut d'encadrement juridique. Plusieurs amendements sont déposés pour y remédier.