Entre janvier et avril, les prix mondiaux ont augmenté de 4 %. Une première depuis deux ans, selon l'institution, qui craint un retour des émeutes de la faim.
Compenser la hausse des prix de l’énergie ne justifie pas l’abandon des objectifs climatiques et d’équilibre budgétaire, met en garde Beata Javorcik, cheffe économiste de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement.