D’ici 2050, l’augmentation de la quantité de CO2 dans l’atmosphère réduira la qualité nutritive de nombreuses cultures. Conséquence : des carences en zinc, en fer, en protéines toucheront des millions de personnes dans le monde.
La hausse de la concentration atmosphérique de CO2 s'accélère, déplore l'OMM dans son bulletin annuel. Cette accélération serait due à la réduction des quantités de CO2 absorbées par la biosphère conjuguée à la hausse des émissions mondiales.
La hausse des concentrations de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère, responsable du changement climatique, affecte la teneur en protéines et en minéraux (fer et zinc) des cultures vivrières (en particulier le riz, le blé et les légumineuses...
Les industriels veulent remplacer les pastilles de couleurs sur la qualité nutritionnelle des aliments prônées par les sociétés savantes par un système axé sur la fréquence de consommation.
Une augmentation de la pollution atmosphérique s’accompagne d’une hausse du risque d’être terrassé par une crise cardiaque, démontre une étude réalisée par des chercheurs belges.