Le succès de la Fresque du climat, cet atelier de sensibilisation aux enjeux climatiques suivi par 1,1 million de personnes

Le Monde, le
Le succès de la Fresque du climat, cet atelier de sensibilisation aux enjeux climatiques suivi par 1,1 million de personnes
Traduit dans 45 langues et pratiqué dans 132 pays, ce jeu créé en France en 2015 voit le nombre de participants doubler tous les six mois dans le monde, en s’appuyant sur une démarche collective, simple à répliquer.
Articles qui devraient vous intéresser :

Entreprises et changement climatique : sensibiliser pour transformer avec La Fresque du Climat

Actu Environnement
Entreprises et changement climatique : sensibiliser pour transformer avec La Fresque du Climat
La sensibilisation aux enjeux climatiques est incontournable. Elle est la condition et le moteur du changement. Forte de 30.000 salariés formés en 2 ans, La Fresque du Climat présentera les enjeux de la sensibilisation en entreprise le 25 juin, à ...

« La Fresque du climat invisibilise les racines politiques et idéologiques du réchauffement »

Le Monde
« La Fresque du climat invisibilise les racines politiques et idéologiques du réchauffement »
Comme des centaines de milliers de Français, les journalistes du « Monde » ont suivi l’atelier de formation aux enjeux du dérèglement. En se focalisant sur ses aspects techniques, l’exercice minimise sa dimension politique, estime Stéphane Foucart dans sa chronique.

Alimentation, biodiversité, océans… La Fresque du climat fédère ses déclinaisons

Le Monde
Alimentation, biodiversité, océans… La Fresque du climat fédère ses déclinaisons
Forte de son succès, la Fresque du climat, outil d’apprentissage par le jeu collectif, a fait des émules. Parmi ses dizaines de versions, certaines peuvent désormais rejoindre un réseau de fresques « amies ».

Une « Fresque de l’emploi » pour recruter « durable »

Le Monde
Une « Fresque de l’emploi » pour recruter « durable »
Conçue notamment comme levier de changement vers des « emplois bas carbone », cette nouvelle fresque est un atelier de réflexion. Chaque participant doit se projeter dans un métier plus « sain pour lui comme pour la planète », explique la journaliste du « Monde » Anne Rodier.