Les résistances aux traitements et aux insecticides ainsi que l’insuffisance des financements inquiètent l’OMS, alors que la maladie a tué 445 000 personnes en 2016.
Selon l’étude, les établissements de soins guinéens ont accueilli 74 000 cas de paludisme en moins en 2014, ce qui a conduit à une hausse sensible du taux de mortalité du paludisme en Guinée.
La stagnation de l’aide internationale et le développement de formes de maladies résistantes aux médicaments pourraient mettre à mal les progrès réalisés.